2 au 5 janvier 2012 je suis parti courrir le grand prix de la ville de Blanes.

J'ai profité de ce déplacement en Espagne pour aller chercher un Europe pour ma fille.

C’est quelques kilomètres au nord de Barcelone que Patrick Nicolas est descendu courir le grand prix espagnol.

Organisation parfaite, paysages splendides, mais quel dommage que les jeunes espagnoles n’aient rien à faire des règles de courses. Plus même,  ils vont volontiers au contact et abiment ainsi les bateaux.

A Blanès les vents sont capricieux, généralement il n’y a pas de vent l’après midi. Donc départ aux aurores. On grée les bateaux à 7h00 de nuit, et ont part à 8h00 le levé du jour, pour être à temps sur la ligne de départ. En effet, la mise à l’eau est laborieuse, deux cales de mise à l’eau permettant de mettre que deux bateaux à la fois à l’eau. Un peut juste pour 180 bateaux ! De plus nous partons dans des travées de port entre les pannes des bateaux. Les arrivées y seront très délicates, et les contacts très nombreux.

Bon enfin, une belle navigation, même si la température au départ sur l’eau est de 4° et 6° sur l’eau en attendant que le vent se stabilise. Le bateau est bien, il est en bon état et se révèle bien marcher. C’est moi qui n’ai pas fait tout ce qu’il fallait. Les passages de bouées sont catastrophiques. Je passe de 50 à 80 – 85… Une vrai parti de stock car. Que de problèmes de stratification à terre. Je fini 80 sur 99 bateaux.

Même si la régate est bien, je ne retournerai pas courir en Espagne, les jeunes y sont non respectueux des règles et du matériel.

  Les photos